SALVE REGINA
Le mystère de LOURDES (enfin) élucidé !
Les quelques miracles qui se sont produits à Lourdes n’ont pas fini de faire parler d’eux. L’eau de la source mariale fait couler, aussi, beaucoup d’encre !
Les athées, les laïques et les septiques, dépensent leur énergie à vouloir démontrer que tous ces miracles ont une explication scientifique et rationnelle ; que nul DIEU ne peut être à l’origine de ces phénomènes de guérisons inexpliquées.
Le Professeur Luc MONTAGNIER (que l’on ne présente plus !) co-découvreur du virus du SIDA, avec le Professeur Françoise BARRE-SINOUSSI, Prix Nobel de Médecine en 2008, auteur de travaux sur la « mémoire de l’eau » - qui firent pas mal de remous à l’époque de leur publication – à 80 ans, s’est intéressé, tout dernièrement, à l’eau de la source de la grotte de Massabielle, lieu de l’apparition de la Vierge Marie à la petite
bergère Bernadette SOUBIROUS, en 1858.
Le Professeur Luc MONTAGNIER (que l’on ne présente plus !) co-découvreur du virus du SIDA, avec le Professeur Françoise BARRE-SINOUSSI, Prix Nobel de Médecine en 2008, auteur de travaux sur la « mémoire de l’eau » - qui firent pas mal de remous à l’époque de leur publication – à 80 ans, s’est intéressé, tout dernièrement, à l’eau de la source de la grotte de Massabielle, lieu de l’apparition de la Vierge Marie à la petite
bergère Bernadette SOUBIROUS, en 1858.
Professeut Luc MONTAGNIER
On aurait pu penser qu’une telle sommité médicale occuperait son temps à des travaux plus importants, salvateurs d’une fraction de l’Humanité. En fait, Luc MONTAGNIER, veut que la Médecine soit la seule curatrice des maladies graves et mortelles humaines et repousse la concurrence déloyale de l’Eglise et de ses prétendus miracles.
Des scientifiques ont récemment envisagé que l'eau de la source des Sanctuaires de Lourdes et le lieu même des pèlerinages pourraient être à l'origine des guérisons constatées. - « Je cherche des raisons rationnelles », a déclaré le Professeur MONTAGNIER, qui a exposé ses théories sur l'influence sur la santé des ondes électromagnétiques de très basse fréquence de l'eau, en général.
- « Je ne peux pas expliquer les miracles », a quant à elle indiqué la rhumatologue américaine Esther STERNBERG, avant d'affirmer qu'un lieu comme les Sanctuaires (prière, chants...) créait des « émotions » et que celles-ci avaient sans doute « un rôle sur la santé, la guérison des malades ».
Ce serait donc qu’une question d'émotions, et Dieu n’y serait pour rien ?
Rappelant les « perturbations » (maladies neuro-dégénératives, cancer...) que pouvaient provoquer dans le corps humain les ondes électromagnétiques, ainsi que ses propres expériences sur la structure de l'eau et son rôle dans les pathologies humaines, le Professeur MONTAGNIER a ensuite avancé une hypothèse quant à l'eau de la source de la grotte de Lourdes.
Selon lui, cet endroit où auraient eu lieu les apparitions pourrait influer sur la santé des patients. Il a toutefois souligné que les analyses de cette eau n'ont fait apparaître aucune propriété particulière.
Donc il n’y a pas de raisons « chimiques », (note de l’auteur) tenant à la spécificité de l’eau. Voilà tout un champs d’expertises éloigné !
De son côté, le Professeur STERNBERG a estimé que si le stress peut provoquer la maladie, le fait d'être « immergé dans une atmosphère de compassion, comme à Lourdes, peut avoir un effet sur les émotions, et donc sur le cerveau ». Selon elle, il se produit alors « un changement dans le cerveau qui permet au corps et au système immunitaire de guérir ». Et d'ajouter que : - « Dans un endroit pareil, on arrive déjà avec l'espoir qu'on va se sentir mieux » et cela réduit le stress.
L'Eglise ne reconnaît les guérisons qu'au compte-goutte : plus de 7.000 cas de guérisons inexpliquées ont été enregistrés à Lourdes depuis 1884. Moins de 1% d'entre elles, une soixantaine, ont cependant bénéficié d'une reconnaissance officielle.
Et si cela était important pour tous ces malades, qui se rendent à Lourdes – ou ailleurs – de croire en un Dieu et d’espérer qu’il fisse des miracles ? Qui cela dérange-t-il ?
Personne, à ce jour, n’a déclaré qu’un malade du SIDA avait été guérit à l’eau bénite ?
Que le prix Nobel se rassure : il « garde » bien sa clientèle et la pandémie qui progresse en Afrique lui évitera le chômage avant longtemps.
Mais je lui adresse une prière : qu’il laisse les croyants croire !
Des dizaines de milliers de gens espèrent qu’un miracle de Dieu viendra les sauver – ou l’un de leurs proches – et c’est très bien comme ça.
L’espoir, aussi, fais vivre !
Des scientifiques ont récemment envisagé que l'eau de la source des Sanctuaires de Lourdes et le lieu même des pèlerinages pourraient être à l'origine des guérisons constatées. - « Je cherche des raisons rationnelles », a déclaré le Professeur MONTAGNIER, qui a exposé ses théories sur l'influence sur la santé des ondes électromagnétiques de très basse fréquence de l'eau, en général.
- « Je ne peux pas expliquer les miracles », a quant à elle indiqué la rhumatologue américaine Esther STERNBERG, avant d'affirmer qu'un lieu comme les Sanctuaires (prière, chants...) créait des « émotions » et que celles-ci avaient sans doute « un rôle sur la santé, la guérison des malades ».
Ce serait donc qu’une question d'émotions, et Dieu n’y serait pour rien ?
Rappelant les « perturbations » (maladies neuro-dégénératives, cancer...) que pouvaient provoquer dans le corps humain les ondes électromagnétiques, ainsi que ses propres expériences sur la structure de l'eau et son rôle dans les pathologies humaines, le Professeur MONTAGNIER a ensuite avancé une hypothèse quant à l'eau de la source de la grotte de Lourdes.
Selon lui, cet endroit où auraient eu lieu les apparitions pourrait influer sur la santé des patients. Il a toutefois souligné que les analyses de cette eau n'ont fait apparaître aucune propriété particulière.
Donc il n’y a pas de raisons « chimiques », (note de l’auteur) tenant à la spécificité de l’eau. Voilà tout un champs d’expertises éloigné !
De son côté, le Professeur STERNBERG a estimé que si le stress peut provoquer la maladie, le fait d'être « immergé dans une atmosphère de compassion, comme à Lourdes, peut avoir un effet sur les émotions, et donc sur le cerveau ». Selon elle, il se produit alors « un changement dans le cerveau qui permet au corps et au système immunitaire de guérir ». Et d'ajouter que : - « Dans un endroit pareil, on arrive déjà avec l'espoir qu'on va se sentir mieux » et cela réduit le stress.
L'Eglise ne reconnaît les guérisons qu'au compte-goutte : plus de 7.000 cas de guérisons inexpliquées ont été enregistrés à Lourdes depuis 1884. Moins de 1% d'entre elles, une soixantaine, ont cependant bénéficié d'une reconnaissance officielle.
Et si cela était important pour tous ces malades, qui se rendent à Lourdes – ou ailleurs – de croire en un Dieu et d’espérer qu’il fisse des miracles ? Qui cela dérange-t-il ?
Personne, à ce jour, n’a déclaré qu’un malade du SIDA avait été guérit à l’eau bénite ?
Que le prix Nobel se rassure : il « garde » bien sa clientèle et la pandémie qui progresse en Afrique lui évitera le chômage avant longtemps.
Mais je lui adresse une prière : qu’il laisse les croyants croire !
Des dizaines de milliers de gens espèrent qu’un miracle de Dieu viendra les sauver – ou l’un de leurs proches – et c’est très bien comme ça.
L’espoir, aussi, fais vivre !
VADE RETRO SATANAS !