Les pétasses

DATI, NKM et BACHELOT : mettent la "machine à perdre" en marche !

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Rachida DATI (source GOOGLE Images)

L'UMP, c'est bien connu, n'est pas absolument vertueuse en matière de parité. Le parti de la droite Républicaine préfére payer des pénalités plutôt que de pratiquer l'égalité hommes/femmes, rendue obligatoire par la Loi.

Peut-être que le manque de candidates l'oblige à cette posture ? Après tout, on ne peut pas forcer des femmes à entrer en politique si elle ne le veulent pas. En tout les cas, les dernières déclarations de ces dames ne plaident pas pour leur cause.

Rachida DATI, est certainement la plus prolixe, la plus outrancières, à la limite de l'exclusion du parti. Ces attaques en règle à l'encontre de François FILLON, sont indécentes, parce-que publiques. Ces problèmes se règlent d'habitude en "interne"

Elle stigmatise l'attitude "pantouflarde" de l'ancien Premier Minisyre, se présentant dans un circonxcriptio "facile". Mais elle n'a pas été se présenter dans une circonscription acquise à la gauche. Elle aurait pu aller en Seine-Saint-Denis, pour affronter Elisabeth GUIGOU, par exemple. Un combat de "Garde des Sceaux" cela aurait été "sexy" et passionnant. Ses dernières confession au quotidien 'Le Monde" ont du "amuser" à gauche.

Nathalie KOCIUSKO-MORISET (source GOOGLE image)

La brillante ancienne Ministre de l'Ecologie et porte-parole du candudat Nicolas SARKOZY, qui avait, pourtant jusque là, réalisé un parcours sans fautes et d'aucuns la voyait bien désignée comme candidate de l'UMP, pour 2017. Bardée de diplomes, travailleuses, sympathique, elle est vite devenue pour tous les français : NKM.. Cet acronyme, en terme de marketing politique, est très efficace pour canaliser la sympathie et la fidélité et en faire des atouts majeurs. Elle a su poser ses idées et acquérir une image très précise et appréciée.

Elle a signé un livre contre le Front National qui lui tiens de carte de visite et qui lui a valu de figurer en tête de la "blakliste" publiée par Marine LE PEN, donnant la consigne à ses militants de faire battre ces candidats, donc appelant des électeurs du FN à voter ... socialiste. Un comble. NKM malgré cela a été élue, et bien élue !

Mais elle a, par certaines déclarations, écorné son image. Elle a regretté la dérive droitière - la ligne BUISSON - de la campagne de Nicolas SARKOZY. Mais il lui fallait démissionner ou se taire. La "régle CHEVENNEMENT" ne s'applique pas qu'à un ministre ! Ca vaut aussi pour le staff du candidat à l'élection présidentielle. Un porte parole c'est comme un Ministre : "ça ferme sa gueule ou sa démissionne". Si ses prises de position récentes - elles aussi publiques - avaient pour but de faciliter une éventuelle candidature à la Présidence de l'UMP : c'est raté !

Roselyne BACHELOT-HARQUIN (source GOOGLE Images)

Quelle mouche a-t-elle piqué Roselyne BACHELOT-HARQUIN de publier un livre de souvenirs - sur sa période gouvertementale - où elle brocarde copieusemet, tant : le Président de la République, le Premier Ministre ou certains de ses anciens collègues. Elle dit tout - le bien et le moins bien - et cette méthode de travail est destinée à accréditer, à rendre authentique ' le propos. Bien entendu la gauche en a fait des "gorges chaudes" à un moment où la défaite était déjà dure à supporter.

Roseline BACHELOT-HARQUIN viens de porter un nouveau coup à son propre camp en sollicitant publiquement le Ministre de l'Intérieur, le sociamiste Manuel VALLS, pour l'organisation des primaires à droite, pour 2017. Les socialistes ont-ils demandé l'intervention de Brice HORTEFEUX ou de Claude GUEANT pour organiser leurs primaires ? Ils en ont fixé eux-même les règles, à leur convenance et ont occupé, sans vergogne, tous les médias, pendant trois mois. Sans qu'aucunes contreparties ou droit de réponse ne soit accordés à la droite.

Une bonne occasion de se taire a été oerdue par l'ex-Ministre de la Santé de François FILLON.

L'UMP se porterait certes mieux si la presse de gauche cessait de parler de "dombat des Chefs", à chaque fois que FILLON ou COPE bougent une oreille.

Elle se porterait encore mieux si les femmes - ministres et gatées - entendaient se taire un peu.

Heureusement ! A gauche ils ont : Najat VALLAUD-BELKACEM, Cécile DUFFLOT, Marilyse LE BRANCHU et Christiane TAUBIRE !