Pendant la famine, la guerre continue !
Pauvre Afrique !
Toutes les ONG tirent la sonnette d’alarme, décrivant la situation de famine en Afrique de l’Ouest. Le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad, sont en proie à des guerres fratricides et dans le même temps subissent une sécheresse terrible qui cause des famines et des pandémies.
Le Général de GAULLE a mené l’indépendance des pays et des peuples qui étaient colonisés par la France.
On ne peut pas dire que, depuis 1960, ces pays aient vraiment connu la prospérité économique et la démocratie.
La corruption règne et les Chefs d’Etat qui se sont succédés n’ont pas été – à de rares exceptions – plus enclins à faire le bonheur de leurs population, que de se préoccuper d’établir leurs fortunes personnelles.
Depuis le début du Xxème siècle, les « bons pères » ont prêché la bonne parole et ont convertit à la foi chrétienne beaucoup d’Africains.
Mais l’Islam, ces dernières années, tente de reconquérir le terrain perdu. Hélas, les méthodes employées sont plus modernes et le cèdent beaucoup au terrorisme. La pacification par la religion ne fait plus florès.
Et l’ensemble de la communauté Internationale reste sourde à ses « pestes » qui s’abattent sur cette pauvre Afrique.
La situation gravissime fais l’objet de quelques articles de presse et de reportages télévision, lors de prises d’otages, puis, bien vite, retourne à l’anonymat.
Pourtant, les occidentaux seront contraint de résoudre ces problèmes, faute de quoi ils subiront ces crises, devenues chroniques, de plein fouet.
Les solutions à l’immigration clandestine – de ceux qui fuient la misère, la famine et la guerre – doivent passer par la coopération et la création de richesses sur place, dans ces pays qui ne demande que ça.
Gageons que le terrorisme reculera, ne pouvant plus accrocher ses prêches à la détresse.
Le Général de GAULLE a mené l’indépendance des pays et des peuples qui étaient colonisés par la France.
On ne peut pas dire que, depuis 1960, ces pays aient vraiment connu la prospérité économique et la démocratie.
La corruption règne et les Chefs d’Etat qui se sont succédés n’ont pas été – à de rares exceptions – plus enclins à faire le bonheur de leurs population, que de se préoccuper d’établir leurs fortunes personnelles.
Depuis le début du Xxème siècle, les « bons pères » ont prêché la bonne parole et ont convertit à la foi chrétienne beaucoup d’Africains.
Mais l’Islam, ces dernières années, tente de reconquérir le terrain perdu. Hélas, les méthodes employées sont plus modernes et le cèdent beaucoup au terrorisme. La pacification par la religion ne fait plus florès.
Et l’ensemble de la communauté Internationale reste sourde à ses « pestes » qui s’abattent sur cette pauvre Afrique.
La situation gravissime fais l’objet de quelques articles de presse et de reportages télévision, lors de prises d’otages, puis, bien vite, retourne à l’anonymat.
Pourtant, les occidentaux seront contraint de résoudre ces problèmes, faute de quoi ils subiront ces crises, devenues chroniques, de plein fouet.
Les solutions à l’immigration clandestine – de ceux qui fuient la misère, la famine et la guerre – doivent passer par la coopération et la création de richesses sur place, dans ces pays qui ne demande que ça.
Gageons que le terrorisme reculera, ne pouvant plus accrocher ses prêches à la détresse.
Le troisième millénaire sera Africain.